Reflexion sur : Le besoin de sommeil d'une étudiante lambda
Tout d'abord choisissons notre sujet d'étude. Au hasard, une étudiante en psycho, c'est pratique y'en a pleins donc c'est pas trop grave si on l'abime un peu.
Nous allons étudier ses comportements face au sommeil et à la privation de sommeil.
Semaine 1 :
Notre sujet se lève en moyenne à 6h (avec deux exception, le lundi à 8h et le mercredi à 10h). Generalement suivit d'une journée de travail à la maison ou à la fac. Rajoutons pour corser la chose, une soirée qui finira plutôt tard, et des soirées téléphone qui elles aussi n'ont pas pour habitude de finir très tôt.
Focalisons à présent notre attention sur l'état du dit sujet le vendredi matin. Un peu au ralentit, elle se rendra en cours oû elle manquera de s'endormir un certains nombre de fois entre 8h30 et 10h30 (avec un presque étallage sur sa voisine de gauche, et un autre sur sa table ! ), elle survivra finalement à ses deux dernières de cours pour rentrer... Faire la sieste !
Notre sujet n'a donc pas tenu ce rythme, mais arrivera a récupérer durant le week-end.
Semaine 2 :
Répliquons l'expérience pour vérifier si cela marche toujours, notre sujet se levera aux mêmes heures (excepté le mercredi oû là ce sera 8h30) avec le même programme, journée et soirée.
Le vendredi notre sujet n'est encore pas en forme ! Les yeux se ferment tout seuls, avec un petit début d'endormissement seulement cette fois-ci.
La journée n'étant pas finie, le sujet n'est toujours pas couché mais y songe fortement.
Conclusion :
Il est très clair que ce rythme ne convient pas. Il n'est pas habituel pour notre sujet qui n'avait pas l'habitude de se lever le mercredi. Cette éxperience démontre que cette pause dans la semaine est indispensable pour sa santé, son moral, et son énergie en fin de semaine.
Je ne me lève plus jamais le mercredi ! :D (et je vais me coucher !)